Les maladies respiratoires désignent un groupe de maladies qui affectent le système respiratoire, notamment les poumons, les bronches, la trachée et les alvéoles. Ces maladies peuvent être légères, comme le rhume, ou graves, comme la pneumonie et la tuberculose.
Parmi les exemples de maladies respiratoires, citons l'asthme, la bronchite, la BPCO, la mucoviscidose, le cancer du poumon et le COVID-19 (causé par le virus SARS-CoV-2).
Dans la recherche sur les troubles respiratoires, divers types d'échantillons biologiques respiratoires peuvent être utilisés, notamment :
Le mucus et les autres matières crachées par les poumons peuvent être analysés pour détecter la présence de bactéries, de virus ou d'autres agents pathogènes.
Il s'agit d'un échantillon de liquide prélevé dans les poumons à travers un bronchoscope et qui peut être utilisé pour évaluer la fonction pulmonaire et la présence d'une inflammation ou d'une infection.
Le sang peut être analysé pour détecter les biomarqueurs associés aux troubles respiratoires, tels que l'inflammation, le stress oxydatif ou les réponses immunitaires.
Des échantillons prélevés dans le nez ou la gorge peuvent être utilisés pour détecter des virus respiratoires ou d'autres agents pathogènes.
Dans certains cas, de petits échantillons de tissu pulmonaire peuvent être prélevés par une procédure de biopsie et analysés pour détecter des signes de maladie ou d'infection.
Il existe plusieurs modèles expérimentaux utilisés dans la recherche et le développement des troubles respiratoires, notamment :
Modèles de culture cellulaire : l'utilisation de cellules humaines ou animales in vitro pour étudier les processus et interactions cellulaires.
Modèles animaux : l'utilisation d'animaux tels que les souris, les rats et les lapins pour étudier les effets physiologiques et pathologiques des troubles respiratoires.
Modèles d'organoïdes : structures tridimensionnelles cultivées à partir de cellules souches ou d'autres types de cellules pour ressembler à des organes et permettre l'étude des interactions cellulaires.
Modèles ex vivo : l'utilisation de tissus humains obtenus à partir de biopsies ou de spécimens chirurgicaux pour étudier les mécanismes moléculaires et cellulaires des troubles respiratoires.
Xénogreffes dérivées de patients (PDX) : en utilisant des tissus tumoraux humains implantés dans des souris immunodéprimées pour étudier les effets de la maladie dans un organisme vivant.
Modèles microfluidiques : en utilisant des puces microfluidiques pour recréer la dynamique complexe des fluides du système respiratoire dans un environnement contrôlé.
Modèles in silico : l'utilisation de simulations informatiques pour étudier les processus physiologiques et pathologiques des troubles respiratoires.
Ces modèles sont utilisés pour étudier divers aspects des troubles respiratoires, notamment la pathogenèse, l'efficacité des médicaments et la progression de la maladie.
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